La murale réalisée par l’artiste québécoise Danaé Brissonnet est inspirée de réflexions autour de la notion de fraternité-sororité, de la condition humaine dans ce monde hyperconnecté et de sa remise en question dans son environnement naturel.
Guidée par la signification du nom de la rue Atateken (“frère et sœur” en langage Mohawk), la murale explore cette dualité et propose une réponse d’unité entre les Hommes et la nature. Notre monde est en perpétuel changement, parfois confus où il est nécessaire de se reconnecter aux valeurs essentielles.
Les éléments de la murale construisent une narration propre à l’interprétation de chacun avec un message de résilience : nous devons retrouver une place saine dans notre environnement et nous reconnecter avec notre cœur d’enfant, notre feu vital et laisser la créativité de l’enfance nous guérir.
Photos par Yule Burlefinger